Il semblerait que les années écoulées – 2023 et 2024 – aient fait très mal au secteur du logement neuf.
Le conditionnel, sur ce sujet, est avant tout une formule de politesse, car le doute n’est guère permis.
Et les permis (de construire) ne le sont pas davantage.
Sachant que le contexte politique et économique est – a minima – incertain, la question de la qualité du nouveau millésime pourrait se révéler angoissante.
D’autant qu’avec la fin du dispositif PINEL, le secteur résidentiel perd son principal moteur.
Alors, que peut-on attendre de 2025 ? La cata annoncée ou une embellie relative ?
Moët Hennessy, comme disent les Anglais devant une flûte à champagne ?