Le déni oui oui, c’est comme un béni oui oui, mais en plus sophistiqué.
En pire, quoi ; ou en plus vicieux, si vous préférez.
Le déni oui oui, comme le béni oui oui, participe d’ailleurs bien volontiers au bal des faux-culs où son sens du faux rythme et des faux arguments s’exprime à merveille.
Dans l’histoire récente de la production de logements neufs, ce genre d’individu utilise abondamment sa fonction dominante pour asséner contre-vérités et incongruités avec l’aplomb que le fil n’a plus (le fil à plomb est en voie de disparition, comme chacun sait)…
Rien d’étonnant, donc, à ce que le déni oui oui ait les fils qui se touchent ! 😉
Et que cela génère autant de faux contacts que de court-circuits dans le cycle de production ?
Dommage. 🙁