J’aime bien les chapelles. Ce sont en général des lieux paisibles.
Les luttes de chapelles, en revanche, je ne les goûte guerre. Ou guère ?
Non pas qu’il faille refuser le combat.
Mais il faut toujours savoir pourquoi, quand et comment on monte en première ligne.
Et quand les chapelles sont des logements, c’est bien de toits dont on parle.
Donc de nous.
Faudra-t-il donc crier à tue et à toits pour que se fasse entendre la voix d’une troisième voie ?
Pour éviter, belle Hélène, la survenance d’une nouvelle guerre de toits…