Investir en Action Logement ? Ou en obligations ?

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Les spécialistes de la finance ont le choix depuis des décennies.

Investir en actions ou en obligations.

Action Logement n’a pas le choix.

Elle doit investir dans des actions en faveur du logement.

C’est une obligation. Difficile… Comme les relations avec l’état.

C’est de la finance ou de l’immobilier ?

C’est des actions ou des obligations ? 😉

 

Une bonne action ne reste jamais impunie ?

C’est – ironiquement – ce qu’Action Logement doit se demander assez souvent et singulièrement en ce cœur d’été où les médias relaient l’information d’une nouvelle ponction de l’état sur sa trésorerie.

Mais c’est tellement bon de se sentir utile… 🙂

Du coup, CRO a envie d’aider et se fait un petit film. Pure fiction, bien sûr ! 😉

Des sous ? De soupirs en sous pires ?

Certains sont doués pour les sous. Et d’autres seulement sous-doués.

Certains ont des sous. Et d’autres pas.

Et ceux qui n’en ont pas en veulent.

Hein ? Non, pas les gilets jaunes ! 🙂

Bercy ! Qui veut les sous d’Action Logement.

Mais pas beaucoup, hein. Un demi. Juste un demi, de la petite bière, quoi ! 🙂

Mais un demi milliard, en euros, ça fait envie quand on est dans le besoin !

L’épaisseur d’un soupir (de résignation) chez Action Logement ?

Ou la crainte de sous pires la prochaine fois ?

Mieux vaut faire envie que pitié ?

Alors là, ça se discute !

Prenez, au hasard ( 😉 ), Action Logement.

Avant, c’était tout petit. Enfin, c’était l’impression que ça donnait.

Il y a très très très longtemps on appelait ça le 1% logement (maintenant c’est 0.45 %).

Et à cette époque, il y avait des collecteurs partout, plein, petits, locaux.
Pour vivre heureux, vivons cachés ?
Il y avait même des sociétés HLM qui étaient collecteurs du 1%.

Mais comme le boulot de collecte est administrativement fastidieux (et que la réglementation a changé au fil du temps), il y a eu des accords (par exemple une société HLM apportait sa collecte à un collecteur 1 % et lui demandait en contrepartie des volumes de prêt et de subventions, mais beaucoup plus de prêts, car les prêts ça revient vu que c’est près alors que les subventions on ne les revoit plus 😉 ).

Et ensuite, il y a eu des regroupements spontanés entre collecteurs, pour devenir localement significatifs et incontournables.

Et plus récemment, depuis quelques années, sous l’amicale pression des pouvoirs publics, le mouvement s’est concentré et il n’y a maintenant plus qu’une tête qui dépasse.
Celle d’Action Logement.

Une tête bien joufflue et qui donne des envies budgétaires à Bercy.

Cette tête bien joufflue voudrait garder une autonomie certaine ou, à défaut, une certaine autonomie. 🙁

Et elle fait ce qu’elle peut, en prenant des initiatives – au delà de ses obligations réglementaires – à travers des actions en direction des salariés des entreprises cotisantes, et en montrant patte blanche vis-à-vis des pouvoirs publics, pour donner des gages et se montrer bonne fille.

Histoire de garder sa douillette place dans le grand jeu du logement administré à la française. 🙂

Mais un acteur dodu et sans vrai propriétaire suscite fatalement de l’appétit.

Qui vient en mangeant ? Croquons donc et revenons y !

Diviser pour mieux régner ? La bonne blague !

Un schtroumpf historique a tenté de nous faire croire que diviser est une bonne pratique pour parvenir à mieux régner.

Pas toujours.
Uniquement quand l’ambitieux n’est pas sûr de ses forces.

Car l’avantage quand le pouvoir est absolu (ce qui est le cas dans le rapport des forces en présence), c’est qu’avoir une seule tête en face de soi, ça permet de mieux la connaître, mieux l’évaluer, savoir ce qu’elle vaut vraiment et ce qu’elle pèse.

Et ça ne fait qu’une seule entité à convaincre ou un seul bras à tordre. 🙂

Entre gens civilisés, c’est quand même super soft ! 😉

C’est ainsi que tous les regroupements en cours, tant dans le secteur du logement social que dans le 1% logement, permettent en réalité à la technostructure gouvernementale une vision et un pilotage (pelotage ??? La main baladeuse du budget ? Qui a dit ça ? 😉 ) toujours plus aisé.

Et autant de richesse concentrée, aussi bien en termes de trésorerie que de patrimoine immobilier (cf l’article du Monde) préfigure un potentiel d’appropriation des ressources qui ferait saliver un grain de sable du désert de Gobi.

D’abord tu donnes des gages et après tu dégages.

Normal, quand on a à faire à des tueurs à gages.

Bercy, l’odeur de l’argent, ça les rend dingues…

Zut, l’argent n’a pas d’odeur. Mais c’est quoi alors, la raison ? 😉

Celle du plus fort. Qui n’est hélas pas toujours la meilleure.

CQFD ?

Kilogrammes ou hologramme ?

On va éviter d’en faire des tonnes. On laisse donc tomber les kilogrammes.

Mais les hologrammes, ah, les hologrammes… 🙂

Depuis la dernière Présidentielle, CRO rêvait de se payer un hologramme.

Il en a rêvé, Plumette l’a fait (note du CRO : pour les non initiés, Plumette est le dessinateur des illustrations CROtesques 🙂 ).

 

Hologramme de CRO
CRO est partout ! Sans limites ! A CROfusion !

Ca fait peur de se projeter en 3D dans l’inconnu !

Mais quel sentiment de pouvoir ! 😉

Régner sur le monde. Se dupliquer en actions et en obligations.

Sans quitter son logement…

Sans collecte, sans supervision, sans négociation.

Mmmm, voyons, où est-ce que je me projetterais bien en cette époque de l’année ?

Trouvé ! Dans un hamac ! 😉

 

Et vous ? En action par obligation ?
Ou au repos ? 🙂

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