Pierre qui roule n’amasse pas Anonymous.
Sûrement. Mais quand la pierre ne roule plus, hein, qu’est ce qu’elle amasse ?
Pas des masses. Et pas de mousse.
Ce constat est clairement celui fait par tous les promoteurs de France et des avares 😉 , des plus gros aux plus anonymes.
A force de ne pas produire, on devient inutile.
Et la honte pointe le bout du nez ?
Ah, l’anonymat, la solution ultime pour survivre ? 😉
Facile ! Excel, Word, PowerPoint, Adobe, euh… et d’autres !
C’est qu’ils en ont plein, des logiciels, les promoteurs.
Leur logithèque est blindée de chez blindée, et la bureautique est leur béquille principale.
Alors, vous parlez… un nouveau logiciel ?
Que personne n’aurait vu venir ? Comme la crise ?
Non, c’est une blague, ça, c’est plutôt des lunettes de vue qu’il leur faudrait. 🙂
Et même de double vue !!!
A triple foyer. Pour loger tous les ménages… 😉
L’époque est particulière. Pour tout le monde, c’est vrai.
Mais singulièrement pour les acharnés du logement neuf.
Car il faut vraiment être acharné et s’accrocher au bastingage pour résister à l’air du temps.
Un vent mauvais souffle sur les statistiques, et à tous les stades du processus de production de logement.
Vent mauvais en grande partie dû aux pouvoirs publics, qui font semblant de ne pas comprendre la question du tant, ou plutôt du si peu actuel.
Répondre aux besoins de nos concitoyens en matière d’habitat ne semble pas une priorité.
Mais il est vrai qu’un toit au-dessus de la tête, ce n’est pas fondamental ! 😉
Non, les opérateurs n’ont pas un petit vélo dans la tête.
Et oui, ils ont quand même un problème de cycle.
Avec les deux roues dégonflées et le dérailleur en vrac ! 🙂
Ainsi va le petit monde du logement neuf, pour lequel chaque jour qui passe sans (mauvaise) nouvelle est une bonne nouvelle.
C’est sûrement un problème météorologique, une sorte d’intersaison de la construction résidentielle à tendance récessive avec l’anticyclone des Açores remplacé par une dépression qui nous essore ? 🙂
La température ressentie n’est en tout cas pas optimale, ce que confirment les derniers chiffres révélés par la FPI le 14 septembre…
Surtout, pas d’amalgame hasardeux.
Ne pas assimiler bonheur à bordel et réciproquement. 🙂
Mais, bon sang, que c’est énervant d’oublier le bon sens et le sens de la vie dès qu’un sujet semble complexe.
Le logement, ce n’est quand même pas la planète Mars ! 😉
Alors, pourquoi faire perdre de l’argent à l’état, aux collectivités locales ; pourquoi faire semblant de ne pas comprendre que planter la production, ce n’est pas lutter contre l’inflation, c’est rendre la vie des gens plus difficile et aggraver les difficultés de l’accès au logement ?
Je ne vois qu’une raison : l’état n’aime plus du tout les promoteurs. 😉
Snif. Mon petit cœur désenamouré (psst: ne cherchez pas dans le dictionnaire, mais dans votre imagination 🙂 ) sanglote de dépit.
Et vous savez pourquoi ? 😉
Il y a des métiers vraiment trop faciles à exercer.
Où il ne faut aucun talent particulier pour faire une carrière honnête.
Des exemples ? Facile : politicien, footballeur professionnel, et…
Promoteur immobilier ! 🙂
Le genre de métier où l’absence de diplôme le dispute à l’argent facile, c’est une bénédiction pour les opportunistes, les médiocres et les cupides, pas vrai ? 😉
On est d’accord à quelques détails près, comme la notion de prise de risque et de durée dans le métier ?
Bah, comme tout le monde se moque des détails, on ne va pas faire dans la finesse, quand même ??? 😉
La promotion immobilière, c’est vraiment trop facile !
Qu’on se le dise… Et qu’on y pense. 🙂
Tout est question d’état d’esprit.
Car, si le gouvernement, dans sa quête éperdue du plus gros fromage, carbure hélas à l’emmental (l’amour des trous dans le fromage, sans doute ?), le mental, en revanche, gouverne tout le reste, c’est bien connu. 🙂
Particulièrement dans les périodes vaguement troublées, comme celle que traverse le logement en France actuellement.
Il faut donc se concentrer sur les motifs de satisfaction ou d’espoir plutôt que de broyer du noir et de croire sa dernière heure venue.
Bref, en immo comme en sang, en un mot comme en cent, le ciel attendra.
Et encore heureux, car le bon état d’esprit, c’était sans ciel ! 😉
Les emmerdements volent en escadrille, c’est bien connu.
Et il ne pleut que sur les (gens) mouillés, c’est aussi très connu.
Pourtant, braves gens… il semblerait que la tendance pour le logement soit au sec.
Le sec, comme un symbole, mais pas le sec symbole, hein, ça c’est trop sexy pour la conjoncture actuelle ! 😉
Donc, il va falloir raisonner différemment : à sec.
Comme un réservoir, comme un portefeuille, et comme au pressing ! 🙂
Un bon petit nettoyage à sec et vous oublierez toutes vos envies.
Pratique. Surtout quand on n’a plus les moyens de les assouvir ? 🙂
La restitution des mesures issues du CNR Logement a été rendue publique par la Première Ministre Lundi 5 juin.
Comment vous expliquer la joie profonde et si bien dissimulée qui a étreint tous les participants à cette magnifique consultation ? 😉
Et l’émotion intense de tous les professionnels de l’acte de construire qui guettaient un vrai signal. 😉
Se sentir soutenu, c’est essentiel dans l’étang les temps difficiles !!!
Et là… l’unanimité des professionnels et observateurs avertis du secteur faisait grand plaisir à voir. 🙂
Il s’agissait seulement d’ajuster le vocabulaire selon la nuance du ressenti ; entre rien ou pas grand chose, la frontière est parfois mince, c’est vrai.
Quelle déception : certains s’étaient peut-être fait un film ??? 😉
Au hasard : les Tontons Flingueurs ?
Oui, oui, depuis 1936 les salariés ont droit aux congés payés.
Jeudi dernier (1er juin 2023), les promoteurs ont eu droit à une version améliorée du dispositif. Rien n’est trop beau pour eux. 🙂
Les Congrès payés !!!
Fabuleux et intense moment, pendant lequel – à l’occasion du 51ème Congrès de la F.P.I. (Fédération des Promoteurs Immobiliers) – les pouvoirs publics se sont gaiement et cyniquement payé leur tronche.
Expression triviale, mais tellement plus proche de la réalité, que par exemple « les pouvoirs publics n’ont pas répondu à l’attente de la profession » .
En gros, les plus hautes instances de l’état ont donné congé à l’ensemble de la filière sur le thème, « je t’aime, très chère, mais tu coûtes bien trop cher » .
L’amour aurait-il un prix insurmontable ? 😉
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